Les acteurs européens, à travers des témoignages belge, italien, espagnol et allemand, étaient bien représentés. Ils nous ont fait la démonstration d’approches pragmatiques, sachant concilier les valeurs fondamentales du bilan de compétences avec les besoins de notre société, besoins amplifiés par la crise économique et social. Que le bilan de compétences soit initié par l’entreprise (Italie), qu’il s’inscrive dans un parcours d’accompagnement de personnes en grande difficulté (Allemagne), qu’il soit mobilisé à la demande de toute une branche professionnelle (Belgique), ou qu’il se développe sous l’égide d’une université (Espagne), les témoignages mettent en évidence l’importance d’un processus très rigoureux dans sa réalisation, favorisant la mise en relation entre le bénéficiaire du service et les organisations susceptibles d’intervenir dans son projet, dynamisant la reconnaissance personnelle et sociale (avec quelquefois la volonté d’avancer complémentairement sur des approches de type VAE). La question n’est donc pas que française….et les solutions non plus… |